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Découvrez les produits d'élite Compex pour la récupération, comment les utiliser, les nouveautés, les interviews d'athlètes et les événements à venir.
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Traiter une périostite tibiale
La périostite tibiale (Shin-splint) correspond à un surmenage micro-traumatique siégeant le plus souvent à la face antéro-médiale du tibia ou à son bord médial. Elle correspond à la répétition de microtraumatismes entraînant un tiraillement des aponévroses musculaires sur leurs insertions et concerne les sports tels que la course à pied où les impulsions-réceptions sont nombreuses. La périostite tibiale peut être soulagée à l’aide de l’électrostimulation, mais les effets obtenus sont assez variables d’une personne à l’autre.
1ère PHASE : PHASE AIGÜE
Au cours de la phase aigüe (inflammatoire), vous ressentez de douleurs vives avec souvent des répercussions même pour certains gestes de la vie quotidienne (marche, escaliers…).Programme : Anti-douleur TENS (ou Tens ou Tens modulé selon le modèle Compex)
Durée du traitement : Pendant toute la durée de la phase aigüe et la persistance des signes inflammatoires.
Déroulement du traitement : Au minimum, 1 séance tous les jours. Selon les besoins, les séances peuvent être répétées plusieurs fois au cours d’une même journée.
Placement des électrodes : Il faut chercher à recouvrir toute la surface de la région douloureuse avec autant d’électrodes que nécessaire.
Position du corps : Placez-vous dans la position indifférente la plus confortableRéglage de l’intensité :
Effet recherché : Obtenir un fourmillement bien prononcé, mais non douloureux.
Augmenter progressivement les intensités de stimulation jusqu’à percevoir une sensation bien prononcée de fourmillements. Montez les intensités de stimulation à un niveau plus élevé n’apporte pas d’efficacité supplémentaire et peut déclencher des contractions musculaires qui sont indésirables pour ce traitement.
- Pour les appareils munis de la technologie mi-TENS :
Dès qu’ une contraction est détectée, l’intensité de stimulation est automatiquement diminuée.
- Pour les stimulateurs non munis de la technologie mi-TENS :
Si une contraction musculaire apparait, il convient de réduire manuellement légèrement le niveau de l’intensité.2ème PHASE : PHASE AIGÜE
Au cours de la phase chronique, les douleurs diminuent nettement, mais la gêne reste persistante ou une douleur peut réapparaître dans des conditions spécifiques.
Programme : Douleur musculaire (ou Endorphinique selon le modèle Compex)
Durée du traitement : Pendant toute la durée de la phase chronique jusqu’à disparition complète des signes douloureux.
Il est recommandé de consulter son médecin si aucune amélioration n’est constatée après la première semaine d’utilisation.
Déroulement du traitement : Au minimum, 1 séance tous les jours. Si possible 2 séances par jour espacées par un minimum de 10 minutes de repos entre les 2 séances.
Placement des électrodes :Réglage de l’intensité :
Effet recherché :
Obtenir des secousses musculaires bien prononcées tout en restant confortables.
Il faut monter l’intensité jusqu’à obtenir une réponse musculaire qui ressemble à un battement ou une grosse vibration, que l’on appelle aussi des secousses musculaires. Cette activité musculaire, très différente d’une véritable contraction, se comporte comme une pompe qui est déterminante pour provoquer la forte augmentation du débit sanguin dans le muscle stimulé. Lorsque l’on monte l’intensité, le battement musculaire est d’abord discret, puis devient de plus en plus prononcé avant d’atteindre un plafond où la réponse musculaire est maximale.
Il est cependant possible de monter l’intensité plus haut, mais cela n’apporte pas de bénéfices supplémentaires.Pour les appareils munis de la technologie mi-RANGE, la zone d’intensité qui induit la stimulation optimale est indiquée sur l’écran:
- Sur le SP 4.0, il y a un petit crochet qui indique la zone optimale, il faut donc maintenir l’intensité à l’intérieur du crochet et si possible au niveau maximum de celui-ci.
- Sur le Fit 5.0 et SP 6.0, il faut augmenter l’intensité jusqu’à ce qu’il soit inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.
- Sur le SP 8.0, la fonction mi-AUTORANGE va régler automatiquement l’intensité. Dès que l’intensité aura été trouvée, il sera inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.La douleur est un signe qu’il ne faut pas négliger. Si cette dernière est prononcée et/ou perdure trop longtemps,
il est conseillé de consulter un médecin. -
Joyeux Noël avec Kilian Jornet
C'est avec les mots de l'un de nos plus illustres ambassadeurs que nous vous souhaitons d'excellentes fêtes de fin d'année et un joyeux Noël !
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Formation Module n°2
Découvrez ici une première approche pour intégrer Compex dans votre préparation physique.
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Formation Module n° 1
A votre disposition ce premier module de formation Compex pour comprendre l'électrostimulation, son fonctionnement et ses bénéfices.
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Le kite aussi...
Après mon premier rendez-vous et test chez Compex, j’ai eu beaucoup de courbatures. J’ai donc utilisé la semaine que j’avais avant de partir au SriLanka pour tester différents programmes comme douleurs musculaires, résistance et gainage. J’ai tout de suite apprécié l’utilisation simple (grâce aux schémas et aux instructions à suivre sur l’écran) et pratique de l’appareil (le modèle sans fils est juste génial). Seul point négatif à ce stade : le poids du chargeur quand j’ai dû faire ma valise pour partir en avion.
Au Srilanka j’ai surtout utilisé Compex pour la récupération après les sessions de kite car j’avais des entraînements sur l’eau 6 jours sur 7. Cela m’a aidé non seulement à ne pas avoir de courbature, mais aussi à récupérer rapidement beaucoup d’énergie après les longues sessions sur l’eau. Je pense que c’est aussi grâce à Compex que j’étais le seul de l’équipe à ne pas avoir eu besoin de prendre de jour de repos à cause de douleurs ou de fatigue…. Il me semble même que grâce à Compex mes douleurs au genou ont complètement disparu. (Je suis aussi assez content d’avoir pu vendre un appareil au staff de l’école de kite où je me suis entraîné.)
Après mon trip de 3 semaines au Srilanka, je suis rentré à la maison où j’ai fait 1 semaine de récupération et une semaine de condition physique. J’ai utilisé Compex lors des entraînements physiques avec des programmes de résistance courts mais intensifs et j’ai réussi à augmenter l’intensité jusqu’à plus de 100 sur les jambes et les abdos.
Je suis ensuite parti en Espagne pour une semaine de camp avec l’équipe F-One Next-Generation, afin de préparer les championnats du monde juniors qui se déroulaient la semaine suivante. Etant de nouveau tous les jours sur l’eau, j’ai testé les programmes récupération après entraînement et récupération après compétition. Je pense que ma préparation a été optimale car j’ai réussi à garder mon titre de champion du monde junior face à une concurrence nettement plus forte que l’année dernière. Je sens une nette amélioration en force, en explosivité et en stabilité.
Compex est rapidement devenu pour moi un outil indispensable à ma préparation physique. Il m’aide à me sentir mieux, me motive pour les séances de conditions physiques et me fait gagner beaucoup de temps !
Maxime Chabloz
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Jules-Henri Gabioud UltraTrailer
Jules-Henri Gabioud UltraTrailer
Pratiquant le sport d’endurance depuis une quinzaine d’années, j’ai d’abord commencer par pratiquer du cyclisme pour devenir ensuite ultratrailer quelques années plus tard. J’ai notamment participer aux plus grandes épreuves d’ultra endurance au monde avec de beaux succès comme au Tor des Géants (330km) et au Trail Verbier St-Bernard (110km) entre autre.
Dans ce sport, le mental est bien sûr un facteur clé pour aller rechercher ses limites mais un bon physique et une excellente préparation sont primordiaux pour résister et endurer ses efforts de longues durées.
J’ai naturellement découvert la marque Compex en recherchant les meilleures possibilités de récupération afin d’enchainer ses épreuves d’ultra. La marque Suisse Compex est pour moi synonyme de savoir faire, d’innovation et de qualité suisse.
Mon premier appareil fut un Compex Energy il y a plus de dix ans. Fort utile pour améliorer ma récupération après des sorties intenses en montagne à pied ou en vélo. Quelques années plus tard, j’ai opté pour un appareil plus ciblé pour ma pratique du trail avec le modèle Compex Runner.
En récupération Compex a fait clairement ses preuves avec une efficacité remarquable me permettant d’accumuler de gros entrainement et de mieux récupérer entre mon travail de guide de trail running et les compétitions. J’ai également découvert d’autres programmes fort intéressant me permettant de gérer de petites contractures et tendinites afin d’être toujours d’attaque au fil de la saison où encore le mode capillarisation me permettant d’avoir un excellent échauffement pré compétition.
Actuellement, j’utilise le nouveau modèle Compex SP 8.0 avec la technologie sans fil et une interface remodelés avec de nombreux modes et programmes supplémentaires. Ce nouvel appareil est vraiment très facile d’utilisation et j’apprécie vraiment les nouveautés et notamment le confort d’un appareil sans fil.
Utilisateur depuis de nombreuses années, je conseille vivement l’utilisation d’un Compex afin de compléter sa préparation sportive mais aussi afin de prévenir des petites blessures où encore d’optimiser sa récupération.
Jules-Henri Gabioud
Ultratrailer -
Développer les pectoraux
Pour permettre de développer des qualités musculaires en général et le volume musculaire en particulier, l’entraînement par électrostimulation doit nécessairement satisfaire deux exigences : permettre qu’un pourcentage important de fibres musculaires soient impliquées lors de chaque contraction, mais aussi que le régime de travail imposé au muscle stimulé soit adapté pour prendre de la masse musculaire.
C’est la qualité des impulsions de stimulation qui autorisent de faire travailler les fibres musculaires en profondeur, sans être limité préalablement par des douleurs «électriques». Après quelques séances de familiarisation avec la technique, il est possible de provoquer des contractions maximales uniquement par la stimulation, comme ceci a été démontré par Gilles Cometti à l’Université de Dijon. Le régime de travail proposé par les Compex pour les pectoraux est absolument incroyable avec une quantité de travail cumulé difficilement réalisable lors d’un entraînement volontaire. Rappelons en effet, que l’un des avantages propres à l’électrostimulation est la quantité de travail qui n’est pas limité par l’augmentation de la fréquence cardiaque, ni par la fatigue mentale ou psychique comme c’est le cas lors des entraînements intensifs volontaires. Ceci n’exclut pas que la combinaison des 2 formes d’entraînement est toujours recommandée pour l’obtention des résultats optimaux !
Programme : Développer mes pecs
Durée du cycle et fréquence des séances : 6 semaines
Être régulièr dans sa pratique : au minimum 3 séances par semaine pendant 6 semaines est la dose minimale qui permet d’obtenir des résultats vraiment surprenants !
Notez que vous pouvez faire travailler plusieurs groupes musculaires dans la même journée par exemple : abdos, cuisse, bras tout va dépendre du temps que vous avez... Mais qu’il n’est pas recommandé de travailler le même groupe musculaire plusieurs fois le même jour.Placement des électrodes :
Position du corps et Exercices associés : Ci-après, quelques conseils d’exercices que vous pouvez réaliser avec Compex pour sculpter vos abdominaux.
Pour varier votre séance, vous pouvez enchaîner ces 4 exercices.Exercice n°1 : PRESSION MAINS - ELECTRODES SUR LES PECTORAUX
Exercice n°2 : PRESSION EN OUVERTURE DES BRAS
Exercice n°3 : PRESSION EN FERMETURE DES BRAS
Exercice n°4 : POMPES (PUSH-UPS) - MUR, TABLE, CHAISE OU SOL
Réglage de l’intensité :
Effet recherché : Provoquer de puissantes contractions impliquant le plus grand nombre de fibres musculaires possibles.
Il est important de monter régulièrement l’intensité jusqu’au maximum supportable !
Ceci est déterminant, car l’intensité détermine directement le pourcentage de fibres musculaires que vous sollicitez. Comme seules celles qui travaillent progressent, il faut toujours essayer d’en faire travailler le plus possible = monter l’intensité le plus haut possible.
Parce que tout le monde s’habitue à la technique, vous devez, en particulier, toujours chercher à monter régulièrement les intensités tout au long de chaque séance (par exemple toutes les 4 à 5 contractions), ainsi que d’une séance à l’autre.
Une bonne façon de procéder, est de se donner comme objectif de chaque séance de dépasser le niveau d’intensités atteint lors de la séance précédente !
Vous devez donc très rapidement atteindre un niveau d’intensité/énergie d’au moins 100, puis chercher à vous rapprocher d’un niveau d’environ 250, il n’est pas rare de voir certains sportifs monter jusqu’au maximum (999).Augmentez seulement dans la phase de contraction.
En phase de repos, les intensités se divisent par 2 et vous n’avez pas besoin d’augmenter.
(Pendant la phase d’échauffement et de récupération : augmentez jusqu’à obtenir des secousses musculaires bien prononcées qui restent confortables. Sur le SP 8.0, la fonction mi-AUTORANGE va régler automatiquement l’intensité. Dès que l’intensité aura été trouvée, il sera inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé»)
- Sur les appareils filaires, affichage du déroulement de la séance sur l’écran :- Sur les appareils sans fils, affichage du déroulement de la séance sur l’écran :
Voir la séance de Coaching en vidéo
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Place du Compex dans la prévention et la pris en charge des blessures du triathlète
Il est important de rappeler préalablement qu’une blessure est un évènement à ne jamais négliger, et qu’il est toujours souhaitable d’aller consulter un médecin ou un professionnel de santé afin d’établir un diagnostic précis et de mettre en place les mesures thérapeutiques appropriées.
A. PREVENTION DE L'EPAULE DOULOUREUSE DU NAGEUR
L’épaule est une articulation complexe dotée d’une très grande mobilité et dont la stabilité est assurée essentiellement par de nombreux muscles. Quatre d’entre eux, appelés muscles de la coiffe des rotateurs se terminent par des tendons situés au contact des pièces osseuses de l’épaule.
Lorsque ces pièces osseuses ne sont plus correctement centrées, les conditions mécaniques dans lesquelles travaillent les muscles de la coiffe des rotateurs sont modifiées et conduit le plus souvent à une irritation et une inflammation d’un ou plusieurs tendons : c’est la tendinopathie de la coiffe des rotateurs.
Le crawl qui sollicite fortement les muscles rotateurs internes va pouvoir être responsable d’un déséquilibre musculaire entraînant ce conflit mécanique qui est donc particulièrement fréquent chez le nageur.Pour éviter cela, surtout chez les triathlètes qui ont déjà souffert de douleurs de l’épaule, il est judicieux d’intégrer à son entraînement une séance par semaine de stimulation spécifique des muscles rotateurs externes de l’épaule.
Programme : Musculation
Durée du cycle et fréquence du traitement : 1 séance par semaine pendant 3 à 6 semaines (au minimum 3 semaines) tout au long de la saison
Placement des électrodes : Les 4 canaux sont nécessaires pour pouvoir stimuler efficacement les abdos et les muscles lombaires.
Position du corps : Position debout ou assise, Dos droit
Réglage de l’intensité :
Effet recherché : Provoquer de puissantes contractions impliquant le plus grand nombre de fibres musculaires possibles.
Il est important de monter régulièrement l’intensité jusqu’au maximum supportable !
Ceci est déterminant, car l’intensité détermine directement le pourcentage de fibres musculaires que vous sollicitez. Comme seules celles qui travaillent progressent, il faut toujours essayer d’en faire travailler le plus possible = monter l’intensité le plus haut possible.
Parce que tout le monde s’habitue à la technique, vous devez, en particulier, toujours chercher à monter régulièrement les intensités tout au long de chaque séance (par exemple toutes les 4 à 5 contractions), ainsi que d’une séance à l’autre.
Une bonne façon de procéder, est de se donner comme objectif de chaque séance de dépasser le niveau d’intensités atteint lors de la séance précédente !
Vous devez donc très rapidement atteindre un niveau d’intensité/énergie d’au moins 100, puis chercher à vous rapprocher d’un niveau d’environ 250, il n’est pas rare de voir certains sportifs monter jusqu’au maximum (999).Augmentez seulement dans la phase de contraction.
En phase de repos, les intensités se divisent par 2 et vous n’avez pas besoin d’augmenter.
(Pendant la phase d’échauffement et de récupération : augmentez jusqu’à obtenir des secousses musculaires bien prononcées qui restent confortables. Sur le SP 8.0, la fonction mi-AUTORANGE va régler automatiquement l’intensité. Dès que l’intensité aura été trouvée, il sera inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé»)
- Sur les appareils filaires, affichage du déroulement de la séance sur l’écran :- Sur les appareils sans fils, affichage du déroulement de la séance sur l’écran :
B. PREVENTION DES CERVICALGIES DU CYCLISTE
Les cervicalgies ou douleurs de la nuque sont très fréquentes parmi la population générale, mais sont aussi particulièrement présentes chez les cyclistes sous la forme de contractures musculaires douloureuses qui apparaissent le plus souvent lors de courses ou de sorties de longues durées.
La cause de ces douleurs est la position sur le vélo qui place la nuque en hyper extension, d’autant plus qu’une position aérodynamique extrême est recherchée.Programme : Capillarisation
Durée du traitement :
Ces douleurs cervicales peuvent être efficacement prévenues en appliquant des séances quotidiennes de capillarisation sur les muscles cervicaux pendant une dizaine de jours avant une compétition comme un ironman par exemple.
Certains athlètes, sujets à ce type de douleurs, pourront avoir intérêt à intégrer une séance par semaine tout au long de la saison
Placement des électrodes :
Position du corps :Placez-vous dans la position indifférente la plus confortable
Réglage de l’intensité :
Effet recherché : Obtenir des secousses musculaires bien prononcées tout en restant confortables.
Pour les appareils non munis de la technologie mi-RANGE, il faut chercher à obtenir une réponse musculaire qui ressemble à un battement ou une grosse vibration, que l’on appelle aussi des secousses musculaires. Cette activité musculaire, très différente d’une véritable contraction, se comporte comme une pompe qui est déterminante pour provoquer la forte augmentation du débit sanguin dans le muscle stimulé. Lorsque l’on monte l’intensité, le battement musculaire est d’abord discret, puis devient de plus en plus prononcé avant d’atteindre un plafond où la réponse musculaire est maximale.
Il est cependant possible de monter l’intensité plus haut, mais cela n’apporte pas de bénéfices supplémentaires.Pour les appareils munis de la technologie mi-RANGE, la zone d’intensité qui induit la stimulation optimale est indiquée sur l’écran:
- Sur le SP 4.0, il y a un petit crochet qui indique la zone optimale, il faut donc maintenir l’intensité à l’intérieur du crochet et si possible au niveau maximum de celui-ci.
- Sur le Fit 5.0 et SP 6.0, il faut augmenter l’intensité jusqu’à ce qu’il soit inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.
- Sur le SP 8.0, la fonction mi-AUTORANGE va régler automatiquement l’intensité. Dès que l’intensité aura été trouvée, il sera inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.C. TRAITEMENT DE LA TENDINOPATHIE ACHILEENNE DU COUREUR A PIED
La tendinopathie du tendon d’Achille est l’une des affections les plus fréquentes chez les coureurs de longue distance.
Dans un premier temps, en phase aigüe ou inflammatoire, la région du tendon est chaude et rouge et est très douloureux. La mobilisation du pied provoque le plus souvent une sensation de grincement, le repos sportif est alors impératif (en tous cas l’arrêt de la course à pied). A ce stade, des séances répétées d’un programme antidouleur de type Tendinite permet de soulager efficacement les douleurs.
Le plus souvent, succède ensuite une seconde phase où les signes précédents ont disparu ou se sont considérablement atténués, c’est la phase chronique qui correspond à une phase de cicatrisation des microlésions des fibres tendineuses.
A ce stade, le programme Douleur musculaire appliqué sur les muscles du mollet (triceps sural) à raison de 2 séances par jour provoque une amélioration de la circulation sanguine et de l’irrigation du tendon qui est tout à fait favorable à la guérison.1ER PHASE DE LA TENDINOPATHIE : PHASE AIGUE
Programme : Tendinite (ou Tens ou Tens modulé selon le modèle Compex)
Durée du traitement : Pendant toute la durée de la phase aigüe et la persistance des signes inflammatoires.
Déroulement du traitement : Au minimum, 1 séance tous les jours. Selon les besoins, les séances peuvent être répétées plusieurs fois au cours d’une même journée
Placement des électrodes : Il faut chercher à recouvrir toute la surface de la région douloureuse avec autant d’électrodes que nécessaire
Position du corps : Placez-vous dans la position indifférente la plus confortable
Réglage de l’intensité :
Effet recherché : Obtenir un fourmillement bien prononcé, mais non douloureux.
Augmenter progressivement les intensités de stimulation jusqu’à percevoir une sensation bien prononcée de fourmillements. Montez les intensités de stimulation à un niveau plus élevé n’apporte pas d’efficacité supplémentaire et peut déclencher des contractions musculaires qui sont indésirables pour ce traitement.
Pour les appareils munis de la technologie mi-TENS :
Dès qu’ une contraction est détectée, l’intensité de stimulation est automatiquement diminuée.Pour les stimulateurs non munis de la technologie mi-TENS :
Si une contraction musculaire apparait, il convient de réduire manuellement légèrement le niveau de l’intensité.2EME PHASE DE LA TENDINOPATHIE : PHASE CHRONIQUE
L’évolution habituelle d’une tendinopathie passe le plus souvent par une première phase aigüe, puis par une phase chronique pour laquelle les signes évidents d’inflammation (chaleur, rougeur) ont disparus. La douleur n’est plus présente et n’entrave plus les gestes de la vie quotidienne comme la descente des escaliers. Mais une gêne persistante ou un léger réveil de la douleur survient lors de la reprise même extrêmement progressive de l’entraînement. Il convient de noter que la reprise de l’activité sportive doit toujours se faire avec le feu vert d’une autorité médicale et de façon extrêmement progressive (footing lent et de courte durée sur terrain souple pour commencer). L’apparition d’une gêne ou le réveil de la douleur doit en principe toujours faire interrompre la séance d’entraînement. Pendant cette phase chronique, le tendon est en phase de convalescence, il peut exister des microlésions des fibres tendineuses qui sont alors en cours de cicatrisation. Le programme Douleur musculaire permet d’entraîner une forte augmentation de la circulation sanguine dans l’ensemble des muscles du mollet (triceps sural) et du tendon d’Achille ce qui est très bénéfique pour favoriser le processus de cicatrisation.
Le programme Douleur musculaire ne doit jamais être entrepris trop tôt, c’est-à-dire pendant la phase aigüe car il existe alors un risque potentiel d’aggravation des signes inflammatoires.
Programme : Douleur musculaire (ou Tendinite chronique ou Endorphinique selon le modèle Compex)
Durée du traitement : Pendant toute la durée de la phase chronique jusqu’à disparition complète des signes douloureux
Déroulement du traitement : Au minimum, 1 séance tous les jours. Si possible 2 séances par jour espacées par un minimum de 10 minutes de repos entre les 2 séances.
Placement des électrodes :
Position du corps :Assis ou allongé dans une position confortable
Réglage de l’intensité :
Effet recherché : Obtenir des secousses musculaires bien prononcées tout en restant confortables.
Il faut monter l’intensité jusqu’à obtenir une réponse musculaire qui ressemble à un battement ou une grosse vibration, que l’on appelle aussi des secousses musculaires. Cette activité musculaire, très différente d’une véritable contraction, se comporte comme une pompe qui est déterminante pour provoquer la forte augmentation du débit sanguin dans le muscle stimulé. Lorsque l’on monte l’intensité, le battement musculaire est d’abord discret, puis devient de plus en plus prononcé avant d’atteindre un plafond où la réponse musculaire est maximale.
Il est cependant possible de monter l’intensité plus haut, mais cela n’apporte pas de bénéfices supplémentaires.Pour les appareils munis de la technologie mi-RANGE, la zone d’intensité qui induit la stimulation optimale est indiquée sur l’écran:
- Sur le SP 4.0, il y a un petit crochet qui indique la zone optimale, il faut donc maintenir l’intensité à l’intérieur du crochet et si possible au niveau maximum de celui-ci.
- Sur le Fit 5.0 et SP 6.0, il faut augmenter l’intensité jusqu’à ce qu’il soit inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.
- Sur le SP 8.0, la fonction mi-AUTORANGE va régler automatiquement l’intensité. Dès que l’intensité aura été trouvée, il sera inscrit «Niveau optimal d’intensité trouvé». Si la stimulation est confortable, vous pouvez cependant monter l’intensité à un niveau un peu plus élevé pour que les battements soient davantage prononcés.La douleur est un signe qu’il ne faut pas négliger. Si cette dernière est prononcée et/ou perdure trop longtemps, il est conseillé de consulter un médecin.
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